Productions audiovisuelles cocoteriennes
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Re: Productions audiovisuelles cocoteriennes
youpi ^^ moi je l'ai moi je l'ai "^^ et elle est profondément débile, et sexiste en plus
Pidjey- Cocoterrien de bronze
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Date d'inscription : 07/06/2006
Re: Productions audiovisuelles cocoteriennes
ANALYSE
Le montage peut paraître singulier mais ce n’est pas spécialement voulu. Disons que l’idée était de mixer les clips de New Born de |MUSE| & de The Pyjamas en ne montrant que les images du groupe pour ce qui est de |MUSE|. J’ai donc été confronté à deux problèmes majeurs, à savoir que les passages de |MUSE| qui m’intéressaient étaient intercalés de passages de jeunes qui dansent & que je ne voulais pas, et que The Pyjamas n’avaient pas chanté la chanson en entier (le clip de |MUSE| est d’ailleurs aussi plus court que la chanson de l’album). J’ai donc dû bricoler comme j’ai pu, ce qui n’est pas toujours top, je dois bien l’avouer. Cependant, de grands littéraires dans l’âme pourraient y voir tout un tas de symboliques. Je m’en vais donc de ce pas les devancer ^^
Le clip s’ouvre sur un fondu des deux débuts des deux clips. L’idée était de mixer les deux pour qu’ils ne fassent plus qu’un et ce, sans brutalité (qui aurait été crée par un simple cut qui les aurait simplement juxtaposés). Cependant, les lumières semblent rentrer dans la maison et l’illuminer. C’est bien sûr la lumière de |MUSE| qui vient inspirer par une insufflation mystérieuse et magique leurs fans, The Pyjamas. De plus, le plan du salon est cadré sur la guitare et la télévision. Evidemment, dirai-je. Il s’agit là d’une mise en abîme du clip en tant que matériel audiovisuel. Mais c’est aussi la représentation de l’influence de |MUSE| sur The Pyjamas, notamment par le biais des médias. Le mouvement de caméra qui suit symbolise le parcours du groupe aussi bien dans leur découverte de |MUSE|, mais aussi dans leur démarche artistique, ce qui les mène notamment à la partition notée « New Born », littéralement « Nouveau-Né ». C’est la naissance d’un groupe, la genèse d’un premier clip, ou encore, un pas de plus dans leur marche vers leurs idoles. Le nom même de The Pyjamas, groupe créé pour ce clip, ne le suggère d’ailleurs t-il pas ? Les lettres sont d’abord floues. Peut-être cette naissance est-elle hésitante, fragile, au début, mais cela ne durera pas.
Notons aussi, avant que ne commence la musique, l’omniprésence des instruments de musique dans ce « pré-clip » (deux guitares acoustiques au début, un micro, une guitare électrique, un synthétiseur et un piano). Il s’agit, certes, d’un clip musical, mais plus encore, d’une célébration de la musique d’un groupe par ses fans. La musique commence. Tsuki joue du piano. Doucement d’abord. Puis, Aki se rajoute. On remarque alors un plan « intrus » de Matthew Bellamy, peu avant le début du chant. Il s’agit encore de témoigner de son omniprésence, même invisible, dans cet univers. Une analyse plus poussée irait même jusqu’à remarquer qu’il est le premier membre de |MUSE| à être figuré, tout comme Yumi, la chanteuse de The Pyjamas, est le premier personnage à apparaître dans le clip. En plus de mettre en parallèle ces deux artistes par leur fonction commune – le chant – on peut également remarquer que Yumi apparaît avant « New Born » alors que Aki et Tsuki apparaissent après ces mots. Est-ce là une volonté de Yumi, nommée plus ou moins pertinemment réalisatrice du clip de The Pyjamas de s’imposer comme l’initiatrice de cette renaissance ? Ou tout simplement veut-elle rendre hommage à Matthew ?
Je profite de ces grands questionnements pour faire un petit retour en arrière, jusqu’à l’apparition de PJ, le caméraman de The Pyjamas. Outre le besoin mégalomane et macho dudit seul membre masculin de l’équipe de s’imposer à l’écran comme « celui-grâce-à-qui-tout-cela-se-fait », on peut aussi y voir une autre mise en abîme du clip qui suggère sa propre création à l’intérieur de lui-même. Démarche artistique extrêmement bien vue, il réaffirme le clip vidéo comme un média, mais aussi comme un objet-phoenix, qui renaitrait de ses cendres. Il est sa propre raison d’être et le sens de cette renaissance.
Autre preuve de cette renaissance, la musique semble donner vie aux musiciens, alors que ce sont eux qui la génèrent. Ainsi, Tsuki semble endormie quand elle commence à jouer, mais la musique réveille Aki qui joue à son tour, ce qui réveille à son tour Yumi. Remarquons ici que le mouvement initial qui allait de Yumi à Tsuki en passant par (PJ et) Aki est ensuite inversé, encore un indice quand à la position que Yumi s’attribue dans cette réalisation artistique, puisque le cadre, malgré une tentative de lui échapper revient finalement sur elle, comme attiré irrésistiblement.
Puis la chanson avance. Le cadre suit Yumi qui en reste au centre pendant un moment, puis s’établit un plan large qui englobe tout le groupe et reste fixe. Sur « link it to yourself », Yumi passe devant une porte, porte symbolique de son propre monde qui mène vers l’intérieur sombre et mystérieux de la maison, camouflé derrière les reflets des carreaux. Notons également, bien que difficile à interprêter, la présence de kangourous sur la peinture sur tissus sur le mur sur « stretch it like a birth squeeze », sachant que le mot « kangourou », en langue indigène, signifie « je ne comprends pas ». Peut-être cela traduit-il une incompréhension du groupe face à cette renaissance, bien que pourtant, les membres en soient les initiateurs. Cette création artistique ne relève alors même plus d’elles réellement, mais bien d’une inspiration quasi-divine, sûrement la lumière déjà évoquée au début de cette analyse. Sur « the love for what you hide », on remarque l’absence d’Aki dans le champ. Littéralement, on pourrait dire qu’elle se cache. Elle apparaît ensuite sur « the bitterness inside ». Sans doute est-ce l’amertume qu’elle ressent quant au parti pris de Yumi déjà développé. Mais cette amertume, « growing like the Newborn » la pousse à se surpasser pour s’approprier la création, comme un nouveau-né doit construire son territoire.
Puis, Matt dit « when you’ve seen » et Yumi enchaîne sur « too much ». Peut-être est-ce là une mise en garde du chanteur expérimenté à ses fans bombardées d’images quotidiennement. Ce sens est d’ailleurs renforcé par la juxtaposition des deux plans et leur association aux paroles. Le « when you’ve seen » initial semble anodin, mais il prend tout son sens quand le « too much » se superpose à l’image des fans. Elles sont directement menacées par le « too much ». Puis vient le « too young » de Yumi, qui peut être vu comme une réponse ou plutôt une suite à la mise en garde précédente. Matt surenchérit avec un autre « too young » qui semble le travailler au vu de l’expression de son visage et le mouvement crispé de son doigt qui malaxe sa tempe, comme pour essayer de réfléchir pour trouver une issue au problème. « Soulless is everywhere » sur un plan large de Matt et Chris caché derrière et dont c’est la première apparition. Détail qui a son importance puisque l’élargissement du plan et l’inclusion d’une autre personne dedans renforce les paroles. « Soulless » est littéralement partout, et en tous. Cela est de plus renforcé par le plan large de The Pyjamas qui suit, et qui les inclut sans ce « soulless » « everywhere » et en fait même le centre car le plan apparaît sur la fin du point d’orgue de la phrase musicale, tel une conclusion évidente aux propos précédemment tenus.
De plus, ce plan large marque une rupture. C’est la fin du premier tableau, dominé par le piano, malgré une tentative des guitares au début d’avoir le dessus numérique. Mais l’avènement de l’ère de la guitare résonne dans ce point d’orgue. C’est un nouveau début du morceau, une nouvelle naissance, dominée, cette fois, par Aki qui s’empare de la mélodie ainsi que de l’espace avec sa guitare.
Voilà ce qui doit, entre autres, figurer dans la suite de l’analyse mais j’ai eu la flemme d’écrire tout ça ’^^
Matt
Dom
Pj => frénésie
Seule Aki
Monde renversé => déclin ?? pense pas… abdication pour laisser place à la jeunesse
Contraste =>grand passage de |MUSE| = > dernière gloire ? => s’impose quand même face aux fans & à la relève => plus qu’omniprésence suggérée => physique maintenant
Guitares
Sapin synthétique => éternité + vert => espoir
Nœud de cheveux => alice => monde imaginaire ? tps qui passe ?
Destroy the spineless
Break the silence
I’m Drifting away from you => |MUSE|/Pyjamas ou inverse? => propre style? => violon ?
Violon
Répétition d’une séquence => répétitif ? doit passer la main ?
Plans d’aki => dernier « drifting away from you » Pyjamas cherchent à s’imposer?
Eau => baptême => renaissance de |MUSE|
Pyjamas se rendorment => pas prêtes pour renaître ? ou ont permis la renaissance de |MUSE|
Le montage peut paraître singulier mais ce n’est pas spécialement voulu. Disons que l’idée était de mixer les clips de New Born de |MUSE| & de The Pyjamas en ne montrant que les images du groupe pour ce qui est de |MUSE|. J’ai donc été confronté à deux problèmes majeurs, à savoir que les passages de |MUSE| qui m’intéressaient étaient intercalés de passages de jeunes qui dansent & que je ne voulais pas, et que The Pyjamas n’avaient pas chanté la chanson en entier (le clip de |MUSE| est d’ailleurs aussi plus court que la chanson de l’album). J’ai donc dû bricoler comme j’ai pu, ce qui n’est pas toujours top, je dois bien l’avouer. Cependant, de grands littéraires dans l’âme pourraient y voir tout un tas de symboliques. Je m’en vais donc de ce pas les devancer ^^
Le clip s’ouvre sur un fondu des deux débuts des deux clips. L’idée était de mixer les deux pour qu’ils ne fassent plus qu’un et ce, sans brutalité (qui aurait été crée par un simple cut qui les aurait simplement juxtaposés). Cependant, les lumières semblent rentrer dans la maison et l’illuminer. C’est bien sûr la lumière de |MUSE| qui vient inspirer par une insufflation mystérieuse et magique leurs fans, The Pyjamas. De plus, le plan du salon est cadré sur la guitare et la télévision. Evidemment, dirai-je. Il s’agit là d’une mise en abîme du clip en tant que matériel audiovisuel. Mais c’est aussi la représentation de l’influence de |MUSE| sur The Pyjamas, notamment par le biais des médias. Le mouvement de caméra qui suit symbolise le parcours du groupe aussi bien dans leur découverte de |MUSE|, mais aussi dans leur démarche artistique, ce qui les mène notamment à la partition notée « New Born », littéralement « Nouveau-Né ». C’est la naissance d’un groupe, la genèse d’un premier clip, ou encore, un pas de plus dans leur marche vers leurs idoles. Le nom même de The Pyjamas, groupe créé pour ce clip, ne le suggère d’ailleurs t-il pas ? Les lettres sont d’abord floues. Peut-être cette naissance est-elle hésitante, fragile, au début, mais cela ne durera pas.
Notons aussi, avant que ne commence la musique, l’omniprésence des instruments de musique dans ce « pré-clip » (deux guitares acoustiques au début, un micro, une guitare électrique, un synthétiseur et un piano). Il s’agit, certes, d’un clip musical, mais plus encore, d’une célébration de la musique d’un groupe par ses fans. La musique commence. Tsuki joue du piano. Doucement d’abord. Puis, Aki se rajoute. On remarque alors un plan « intrus » de Matthew Bellamy, peu avant le début du chant. Il s’agit encore de témoigner de son omniprésence, même invisible, dans cet univers. Une analyse plus poussée irait même jusqu’à remarquer qu’il est le premier membre de |MUSE| à être figuré, tout comme Yumi, la chanteuse de The Pyjamas, est le premier personnage à apparaître dans le clip. En plus de mettre en parallèle ces deux artistes par leur fonction commune – le chant – on peut également remarquer que Yumi apparaît avant « New Born » alors que Aki et Tsuki apparaissent après ces mots. Est-ce là une volonté de Yumi, nommée plus ou moins pertinemment réalisatrice du clip de The Pyjamas de s’imposer comme l’initiatrice de cette renaissance ? Ou tout simplement veut-elle rendre hommage à Matthew ?
Je profite de ces grands questionnements pour faire un petit retour en arrière, jusqu’à l’apparition de PJ, le caméraman de The Pyjamas. Outre le besoin mégalomane et macho dudit seul membre masculin de l’équipe de s’imposer à l’écran comme « celui-grâce-à-qui-tout-cela-se-fait », on peut aussi y voir une autre mise en abîme du clip qui suggère sa propre création à l’intérieur de lui-même. Démarche artistique extrêmement bien vue, il réaffirme le clip vidéo comme un média, mais aussi comme un objet-phoenix, qui renaitrait de ses cendres. Il est sa propre raison d’être et le sens de cette renaissance.
Autre preuve de cette renaissance, la musique semble donner vie aux musiciens, alors que ce sont eux qui la génèrent. Ainsi, Tsuki semble endormie quand elle commence à jouer, mais la musique réveille Aki qui joue à son tour, ce qui réveille à son tour Yumi. Remarquons ici que le mouvement initial qui allait de Yumi à Tsuki en passant par (PJ et) Aki est ensuite inversé, encore un indice quand à la position que Yumi s’attribue dans cette réalisation artistique, puisque le cadre, malgré une tentative de lui échapper revient finalement sur elle, comme attiré irrésistiblement.
Puis la chanson avance. Le cadre suit Yumi qui en reste au centre pendant un moment, puis s’établit un plan large qui englobe tout le groupe et reste fixe. Sur « link it to yourself », Yumi passe devant une porte, porte symbolique de son propre monde qui mène vers l’intérieur sombre et mystérieux de la maison, camouflé derrière les reflets des carreaux. Notons également, bien que difficile à interprêter, la présence de kangourous sur la peinture sur tissus sur le mur sur « stretch it like a birth squeeze », sachant que le mot « kangourou », en langue indigène, signifie « je ne comprends pas ». Peut-être cela traduit-il une incompréhension du groupe face à cette renaissance, bien que pourtant, les membres en soient les initiateurs. Cette création artistique ne relève alors même plus d’elles réellement, mais bien d’une inspiration quasi-divine, sûrement la lumière déjà évoquée au début de cette analyse. Sur « the love for what you hide », on remarque l’absence d’Aki dans le champ. Littéralement, on pourrait dire qu’elle se cache. Elle apparaît ensuite sur « the bitterness inside ». Sans doute est-ce l’amertume qu’elle ressent quant au parti pris de Yumi déjà développé. Mais cette amertume, « growing like the Newborn » la pousse à se surpasser pour s’approprier la création, comme un nouveau-né doit construire son territoire.
Puis, Matt dit « when you’ve seen » et Yumi enchaîne sur « too much ». Peut-être est-ce là une mise en garde du chanteur expérimenté à ses fans bombardées d’images quotidiennement. Ce sens est d’ailleurs renforcé par la juxtaposition des deux plans et leur association aux paroles. Le « when you’ve seen » initial semble anodin, mais il prend tout son sens quand le « too much » se superpose à l’image des fans. Elles sont directement menacées par le « too much ». Puis vient le « too young » de Yumi, qui peut être vu comme une réponse ou plutôt une suite à la mise en garde précédente. Matt surenchérit avec un autre « too young » qui semble le travailler au vu de l’expression de son visage et le mouvement crispé de son doigt qui malaxe sa tempe, comme pour essayer de réfléchir pour trouver une issue au problème. « Soulless is everywhere » sur un plan large de Matt et Chris caché derrière et dont c’est la première apparition. Détail qui a son importance puisque l’élargissement du plan et l’inclusion d’une autre personne dedans renforce les paroles. « Soulless » est littéralement partout, et en tous. Cela est de plus renforcé par le plan large de The Pyjamas qui suit, et qui les inclut sans ce « soulless » « everywhere » et en fait même le centre car le plan apparaît sur la fin du point d’orgue de la phrase musicale, tel une conclusion évidente aux propos précédemment tenus.
De plus, ce plan large marque une rupture. C’est la fin du premier tableau, dominé par le piano, malgré une tentative des guitares au début d’avoir le dessus numérique. Mais l’avènement de l’ère de la guitare résonne dans ce point d’orgue. C’est un nouveau début du morceau, une nouvelle naissance, dominée, cette fois, par Aki qui s’empare de la mélodie ainsi que de l’espace avec sa guitare.
Voilà ce qui doit, entre autres, figurer dans la suite de l’analyse mais j’ai eu la flemme d’écrire tout ça ’^^
Matt
Dom
Pj => frénésie
Seule Aki
Monde renversé => déclin ?? pense pas… abdication pour laisser place à la jeunesse
Contraste =>grand passage de |MUSE| = > dernière gloire ? => s’impose quand même face aux fans & à la relève => plus qu’omniprésence suggérée => physique maintenant
Guitares
Sapin synthétique => éternité + vert => espoir
Nœud de cheveux => alice => monde imaginaire ? tps qui passe ?
Destroy the spineless
Break the silence
I’m Drifting away from you => |MUSE|/Pyjamas ou inverse? => propre style? => violon ?
Violon
Répétition d’une séquence => répétitif ? doit passer la main ?
Plans d’aki => dernier « drifting away from you » Pyjamas cherchent à s’imposer?
Eau => baptême => renaissance de |MUSE|
Pyjamas se rendorment => pas prêtes pour renaître ? ou ont permis la renaissance de |MUSE|
Dernière édition par le Mer 20 Déc - 0:46, édité 3 fois
Re: Productions audiovisuelles cocoteriennes
PTDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
Surtout les kangourous énoooooooooooooooooooooorme tu gères trop Yumyum!!! On attend la suite de l'analyse, faut que tu la fasses quand-même (c'est un bon entraînement ^^)...
Surtout les kangourous énoooooooooooooooooooooorme tu gères trop Yumyum!!! On attend la suite de l'analyse, faut que tu la fasses quand-même (c'est un bon entraînement ^^)...
Re: Productions audiovisuelles cocoteriennes
ah parce que je parle de kangourous en fait, j'ai aucun souvenir de ce que j'ai écrit "^^
ah oui les kangourous (après relecture...) mais le pire c'est que je l'ai pas inventé, je crois que j'ai cherché kangourou sur wikipédia pour essayer de trouver un truc à dire... "^^
ah oui les kangourous (après relecture...) mais le pire c'est que je l'ai pas inventé, je crois que j'ai cherché kangourou sur wikipédia pour essayer de trouver un truc à dire... "^^
Re: Productions audiovisuelles cocoteriennes
tu m'étonneras toujours, même si je l'avais déjà lu ! XD
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